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Horaires possibles

Proposition d’emploi du temps à compter du 28 avril:

36h____________________________

Lundi 9h30 – 19h30 (1h de pause)  9h
Mardi  9h30 – 19h30 (1h de pause)  9h
Mercredi 12h30 -19h30 7h
Jeudi 9h45 17h45 (1h pause)7h
Vendredi bureau à la maison 9h – 13h  4h

Ci dessous la première proposition qui tenait plus compte de la réalité de ce que je pourrais être amené à faire en mode « actif », ou plutôt des horaires possibles de départ et retour possible. Exemple lundi 7 avril je ne pouvais savoir à l’avance si je rentrais chez moi vers 19h30 ou 20h45 comme cela a été le cas, car il s’agissait de boucler dans l’école le projet (ou la formation?)  pour ne plus avoir à se déplacer à nouveau.

36h                                                                 

Vendredi 9h30-13h30   4h hors CDDP en télétravail

Mercredi de 12h30 à 19h30  soit 7h

Jeudi de 9h45 à 17h45 soit 7h (1h de pause méridienne à placer là où ça arrange tout le monde plutôt après 14h)

Lundi 9h30 à 20h  soit 9h   (1h30 de pause méridienne +ou -fictive )

Mardi 8h15 à 20h15  soit 9h  (3h de pause méridienne+ou -fictive)

J’ai tenu compte du besoin de présence le mercredi au CDDP principalement ou exceptionnellement sur circo…
Voilà un canevas possible… Dans lequel des exceptions et de la souplesse apparaîtront forcément…. Y compris au besoin certains vendredis travaillés au CDDP ou exceptionnellement deux ou trois mercredis non travaillés dans l’année.
Le plus important était de prévoir des horaires possibles de fin pour le lundi soir et de départ possible le mardi matin (les 11 h de pause consécutives sont respectées dans ce cas extrême)

Ce qui risque d’être plus important, c’est le temps de travail à domicile, et ce qui risque d’être moins important parfois, c’est la charge de travail du lundi ou du mardi… En fait disons que certaines fois, vu que dans les faits, il n’y a pas de pause méridienne, ce seront 8 à 9h effectives et non 10 ou 11….

 

Le point du mercredi

 
Concernant le point du mercredi, voilà un point où je ne souhaite absolument pas temporiser, c’est pour cela que je vous ai interpellé.
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Non il faut être très clair Isabelle, et tu l’écris toi même d’ailleurs ce qui montre que tu lis et retiens mes mèls (ça je le sais depuis le début) celles de préparation pour l’UML
Si je manque de temps pour me consacrer mieux aux tâches documentaires qui m’incombent dans le fonctionnement actuel et futur de l’UML (prenons exemple des contraintes et du temps passé par Patrick pour les points relais), ce n’est pas pour aller renforcer la médiathèque le mercredi quand on y manque de bras.
Le problème du fonctionnement de la médiathèque avec la chute de ses personnels est un réel problème, mais le fait est que nous nous engageons résolument vers l’accompagnement au numérique, ou qu’en tout cas, s’il s’agit de faire vivre le service de prêt de documents, alors il faut déjà que je m’en occupe au niveau des actions de proximité de l’UML.
Politiquement parlant, disons que c’est pas la CUB qui finance le CDDP (hélas) mais le CG33 qui reste attaché à ses territoires…
Et l’expression même si je ne vois pas pourquoi on en ferait un tabou  n’est pas là pour me rassurer.
Bien évidemment, je peux prendre ma part, ponctuellement, irrégulièrement aux impératifs et coups de bourre en médiathèque, comme peut le faire Karl d’ailleurs, voire même me transformer en médiateur numérique de la médiathèque, chouette (je manque pas d’idées et avec l’appui de Karl on pourrait booster vers de nouveaux usages, de nouvelles pratiques et de nouveau supports).
Mais je ne souhaite pas m’inscrire dans des tâches traditionnelles de médiathèque, puisque je le répète (sans hurler 🙂,  je n’arrive pas à assumer mes propres contingences documentaires…
 
Intervenir en circo le mercredi.
Que ce soit clair, Isabelle, moins je roule, mieux je me porte. Mais je reste attaché à mes missions premières et sans tomber dans la nostalgie, je pense qu’elles ne peuvent qu’être réactualisées au vu de nos mutations et des changement profonds imaginés pour l’UML et son animateur (même s’il se trouve que c’est Christophe Bedou qui propose et imagine principalement ces changements).
Mais nous devons désormais, à l’occasion de cette réécriture de la fiche de poste, et de la lettre de missions, « prendre la main » sur la chose…
Même si c’est sympathique, il ne faut plus avoir ce genre de demande qui tombe du ciel de la part d’Henri « tiens j’ai entendu parler du numéribus, tu pourrais pas venir durant la semaine de la presse? »  et quand je creuse un peu, je me rends compte qu’il n’y a pas forcément grand chose à voir avec un nouveau fonctionnement, de nouveaux équipements, de nouvelles approches de l’accompagnement et de la formation initiées au sein du CDDP. Il s’agit tout simplement de ce que je pouvais faire avant.Or pour le moment il n’y a qu’un seul camion, qu’un seul animateur, et que 24h dans une journée, et donc on ne pourra pas faire ce qui (ou comme) se faisait avant et ce qu’on propose maintenant.

Qu’est ce qu’on (va) propose?

Déjà nous avons la grande chance d’avoir une directrice qui est en capacité de mettre en adéquation ce que le CDDP propose (ses missions, les attentes ministérielles) et les besoins des circonscriptions  selon leur fonctionnement et leurs habitudes (anciennes, mais qu’elle connait bien). Elle est donc tout à fait apte à formaliser, faire preuve de propositions et non de laisser « la main » aux IEN qui vont avoir des demandes très étonnantes (je vous assure c’est du vécu…). Ils ne cherchent pas à mettre en adéquation les compétences de l’animateur avec des projets en cours ou à mettre en place, mais cherchent à ce que l’animateur soit compétent dans un projet et un sujet où ils sont sans solution (ou besoins de forces supplémentaires)
Imaginons par exemple, un IEN voulant utiliser l’animateur en soutien et en action sur un dispositif d’ateliers de sciences, ou de chorale dans les classes. Et bien je ne pense pas que Isabelle doive dire, « mais c’est bien sûr, notre animateur s’adapte à toute demande, et peut très vite être opérationnel sur ce qui est demandé ».
Donc il me semblait évident que soit certains mercredis pouvaient être consacrés à être point relais ambulant, soit à intervenir dans un plan de formation concerté CDDP/circo, mais basé sur des propositions présentes au CDDP. C’est à nous de décider.
Alors je reste dans le flou, car les choses changent tellement que j’ai du mal à suivre… mais si j’en reste sur un schéma « classique » ou Karl présenterait la trousse numérique pour accompagner les arts à l’école, dans la phase 1, je suis à ses côtés, le mercredi pour observer, plus que co-animer (mais pour aider dans les manipulations si).
Dans la phase 2, ce module est proposé dans le plan de formation de circonscription par l’animateur de l’UML.
Pour le coup il faut beaucoup d’anticipation et de planification. J’adore à la fois les choses planifiées, et j’adore les choses qui s’improvisent complètement… C’est dans l’entre deux que je suis le plus rétif et le moins à l’aise.
En clair il me semblera important quand l’échéance de la rédaction de fiche de poste, et surtout l’échéance de la réunion avec les IEN s’approchera, et qu’on ne pourra plus temporiser, pouvoir se réunir, tous les quatre pour définir et circonscrire les propositions de l’UML, en lien, en cohérence, avec les actions et activités du CDDP (médiathèque compris évidemment, mais j’estime que Karl est à même d’apporter la réflexion nécessaire sur les mutations de l’offre de prêt via l’UML)
La réunion avec les IENS ne serait (j’aimerais tant utiliser le futur) pas une réunion où ils choisissent ce qu’ils aimeraient faire de l’UML, mais une réunion, où la directrice proposerait un cadre,  le catalogue des possibles, l’organisation des possibles,  et où eux décideraient et proposeraient la meilleure manière d’intégrer ces propositions pour qu’elles aient une chance de « marcher », où ils décideraient de la répartition géographique, annuelle, bi annuelle, etc…
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De la documentation…..

J’avais ça sous le coude… Quelques modifs pour me mettre dans l’actualité du jour (en bleu)

Le service documentaire de l’UML est le service le plus visible et immédiatement utile pour les usagers du monde rural.
Comme en médiathèque, en point relais ou en antenne, il nécessite un gros investissement en temps, manutentions et opérations diverses pour la gestion du fonds (préparation, renouvellement du fonds, etc…), l’organisation des prêts et des réservations.
Bien entendu, le temps des tournées, est l’autre temps utilisé pour ce service.
Ces temps de préparation et de gestion ont été négligés ces derniers mois, et on pourrait même dire de manière assez habituelle ; les autres actions, missions ou tâches de l’animateur prennent ou ont pris souvent un caractère urgent et ou prioritaire, qui relèguent la tâches documentaires à la portion congrue.
De guerre lasse la médiathèque peut parfois me venir en aide quand elle voit que rien d’avance (équipement des jeux par Jean Michel par exemple) .
Mais pour d’autres tâches je ne peux demander de l’aide, puisque les procédures d’importation de fiches par exemple, nécessitent de travailler sur la base en local présente sur le seul ordinateur de l’UML, puis d’affecter un code exemplaire et une cote particulière (car nous on s’affranchit de la dewey dans le camion 🙂
En 2012-2013 de nouvelles tâches sont apparues (pas pour me déplaire), de nouveaux projets, qui ont vu leur aboutissement dans le premier trimestre 2013-2014.
Inutile de préciser à quoi ont servi les dernières semaines de 2013 et ces premières semaines de 2014… L’urgence se cache partout, là où on l’attend le moins….Comme télécharger sur le maximum de compte une appli qui est gratuite sur une journée simplement
C’est pour cela que si rien ne vient se rajouter à ce que j’ai prévu dans mon planning février -juillet 2014, je devrais pouvoir me remettre à flot dans les tâches documentaires : entrer et équiper les ouvrages en souffrance, faire un état des lieux du fonds, et préparer des commandes pour le compléter, le moderniser, remplacer des ouvrages de valises lecture complètement usés, jeux fatigués,  et adapter le fonds à un nouveau type de fonctionnement (à réfléchir et préciser)